Live de Sacrilege par les Yeah Yeah Yeahs chez LettermanPlus que quelques jours à attendre pour vous procurer l’album Mosquito des Yeah Yeah yeahs ! Sortie imminente = un minimum de promotion, et on a donc eu droit au premier live de Sacrilege chez Letterman ! Et quel live ! Si Karen O a perdu ses cheveux noirs, elle n’a rien perdu de sa fougue et de son originalité… mais, comme dans la chanson en fait, c’est du côté de la fin de la prestation qu’on prend réellement un grand pied… Avec l’intervention de la chorale gospel Lire la suite de

Jessie-Ware-Devotion-The-Gold-EditionA l’occasion de la sortie américaine de son premier album Devotion ce 16 avril, on s’est dit que c’était l’occasion de revenir sur cette artiste formidable, un des meilleurs crus de 2012 : Jessie Ware. Qui dit réédition américaine, appelée pour le coup « The Gold Edition« , dit généralement « morceaux inédits » ou « remix »… Ici, on échappe pas aux 2 et aujourd’hui, c’est l’occasion de découvrir Imagine It Was Us, qui bénéficie d’un clip tout frais tout chaud de ce matin. Avec ce titre, on découvre une Jessie Ware « Queen of Disco », Lire la suite de

Minor Majority Either Way I Think You KnowMinor Majority ? Comme les élections de l’UMP ?

Cette semaine, j’ai retrouvé un album d’un groupe qui devrait plaire à une petite majorité d’entre vous. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le nom du groupe : Minor Majority. Et l’album, sorti en 2010, s’appelle Either Way I Think You Know. Pour ne pas changer par rapport aux chroniques précédentes, ce groupe nous vient de Scandinavie lui aussi, plus précisément d’Oslo. Et que nous propose ce groupe venu du Nord ?

Le premier morceau, intitulé To Let Go (Of That Load) place l’ambiance rapidement. Un peu de pop, un fond de commerce folk, à la guitare acoustique, tendance ballade, une guitare électrique en appui pour colorer le tout de bon vieux rock.Lire la suite de

Eskobar - there s only nowAprès Chocobar, voici le nouvel Esquimau en barre : Eskobar ! 

Je fouillais gentiment mon coffre, à la recherche d’un album que j’eus voulu retrouver afin que je vous le présentasse, lorsqu’au détour d’un objet incongru que la morale m’empêche de citer ici, je suis tombé sur cet album : Eskobar – There’s Only Now. Immédiatement, mes doigts gelèrent. Non, ce n’est pas une image, mes doigts gelèrent effectivement. L’album était recouvert d’une couche de glace, épaisse. Franchement, peut-on imaginer une pochette plus froide que celle-ci ?

Cet album est froid. Je ne parle pas là de la musique, mais uniquement de l’image de couverture. Une lueur bleue comme la glace, un soleil pale, des tons froids de bleu et de noir, des vestes en cuir, on sent que ce ne sont pas les musiciens d’Eskobar qui iront jouer de la guitare à moitié à poil sur la plage ! Bon, c’est un choix artistique qui se respecte.Lire la suite de

Le rappeur Veence HanaoDerrière les vitrines de mannequins sans tête, des strings ficelles s’écoulent comme si rien ne s’était passé la veille. « Mais là-bas, y avait la civière et ici y avait la victime », nous explique un guide touristique. « Et à deux minutes y a le cimetière, venez qu’on l’visite ! ».

Y’a des tombeaux profanés avec des crois gammées qui côtoieraient la paix des pierres fleuries des corps de l’armée. A l’amnistie on va trinquer au vin chaud et au sang tiède, presque rien qu’entre innocents fiers, pendant qu’les tombes déblatéreraient leurs faits divers. Lire la suite de

Kings of Convenience - Declaration of DependenceDans mon coffre à mauvaise foi, j’ai un album un peu particulier. Il s’appelle Declaration of Dependence et a été fait par un groupe nommé Kings of Convenience. Sur sa pochette, dans l’oisive langueur d’une soirée de printemps au bord de la plage déserte, deux jeunes composent quelques chansons en regardant la mer, assis sur un muret auprès des palmiers. Sa pochette nous l’annonce donc clairement, ce groupe est californien !  Pardon ? Comment ça « non pas du tout » ? Ce groupe est norvégien ? Mais depuis quand y a-t-il des cocotiers dans la baie d’Oslo ? Et surtout, depuis quand peut-on y retirer son t-shirt ?!Lire la suite de

Clip de Laura Mvula pour That's AlrightLaura Mvula nous trompe un peu sur la marchandise en exploitant son titre That’s Alright après Green Garden. Deuxième chanson très énergique, ça donne l’impression que son album Sing to the Moon va nous faire danser jusqu’au bout de la nuit… Alors que globalement, il est constitué de ballades plutôt molles, un des défauts de l’opus (un poil somnifère du coup). Ce n’est donc pas ce que que laisse présager That’s Alright, pas plus que son clip dynamique ! Si les couplets sont parfaits, le refrain est plus surprenant : décidément, Laura Mvula Lire la suite de

Will I Am cartonne avec Britney Spears sur Scream and ShoutIl n’y avait pas grand chose à dire sur la chanson Scream and Shout de Will.I.Am en collaboration avec Britney Spears au moment de sa sortie : l’écoute du titre était amplement suffisante, les mots nous manquaient. Depuis, le titre s’est vendu à près de 4M d’exemplaires, 2ème vente mondiale de single après Thrift Shop. Ouille. Mais c’est cette semaine que, par hasard, on a découvert la réelle raison de ce succès : la chanson a été écrite et composée par le Belge Basto / Lazy Jay \o/ Et bien voilà, il suffisait de le dire, on comprend tout ! Lire la suite de

f y f e prépare tout doucement la sortie de son EP Solace qui sortira dans quelques jours, le 7 avril. Pour nous allécher, il propose en téléchargement gratuit la chanson Lies, que vous pouvez écouter et télécharger gratuitement ci-dessus : free download, c’est ça ! Il vous faudra juste aimer sa page facebook : à côté de votre amour pour notre page à nous, ce sera très joli ! Il s’agira d’un EP 4 titres composé d’une introduction et des titres Lies, St Tropez et Solace, dont nous vous parlions récemment. Le Must-Have de ce début de mois d’avril, en somme !

[Mise à jour 21/09/2014 : Lies n’est plus en téléchargement gratuit]

Mickey Mouse par le rappeur belge Veence HanaoSi la chanson Mickey Mouse ne possède pas la mélodie la plus imparable de l’album Loweina Laurae, elle possède probablement le texte le plus marquant de l’opus de Veence Hanao. Cet été-là, moi je m’appelais « Mickey Mouse » : cette phrase prend un sens tout particulier dans le rap de Veence. La chanson aborde le thème des conditions de travail et nous met malgré nous dans la peau de ce « Mickey Mouse ». En plus, la rupture entre l’image sympathique du Mickey Mouse et la réalité qu’il peut y avoir derrière nous ramène Lire la suite de