Derrière les vitrines de mannequins sans tête, des strings ficelles s’écoulent comme si rien ne s’était passé la veille. « Mais là-bas, y avait la civière et ici y avait la victime », nous explique un guide touristique. « Et à deux minutes y a le cimetière, venez qu’on l’visite ! ».
Y’a des tombeaux profanés avec des crois gammées qui côtoieraient la paix des pierres fleuries des corps de l’armée. A l’amnistie on va trinquer au vin chaud et au sang tiède, presque rien qu’entre innocents fiers, pendant qu’les tombes déblatéreraient leurs faits divers. Lire la suite de