Continuons notre découverte de l’album The Golden Age de Woodkid. Après la piste d’ouverture, poursuivons par la piste 2 du disque : Run Boy Run. Ca nous permet d’être dans la continuité et aussi de découvrir le côté plus énergique de la musique du Français : cela reste très symphonique et grandiloquent, mais la batterie martiale qui s’enclenche dès le début impose un rythme soutenu, seulement interrompu de façon abrupte au moment du refrain. Woodkid s’y fait alors lyrique, la batterie se met en pause. Lire la suite de