Noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir.
Voici ce que j’ai trouvé cette semaine dans mon coffre à mauvaise foi : Mercury Rev – Deserter’s Songs.
Savez-vous comment on peut reconnaître aisément un album de musique issu de mon coffre à mauvaise foi de n’importe quel album du tout-venant de mon alter-ego ? C’est grâce au tampon sur la pochette aux illustres lettres « Le CàMFoiDS » – loués soient leurs œils ! Et oui ! Un simple tampon noir, gravé de mes augustes initiales, pour marquer ce qui m’appartient. C’est toute la différence entre mes albums et ceux de Gaston. Sauf que lorsque la pochette est presque intégralement noire, et qu’on n’a pas envie de mettre le tampon directement sur la gueule du chanteur (demandez à votre compagne, ce n’est pas l’endroit où on le met usuellement), je suis bien embêté !Lire la suite de