On poursuit la découverte de notre album de la semaine, The Golden Age de Woodkid, par les 2 chansons plutôt douces de cet album. Sur son premier EP Iron figurait une ballade touchante, Brooklyn, qui ne figure pas sur son album : du coup, on est très content de retrouver ces 2 petites soeurs qui sont Where I Live et Boat Song. Pas de batterie pour ces 2 morceaux ! Pour la première, Woodkid surprend au niveau vocal : on entend sa respiration haletante, il vit vraiment sa chanson à fond et c’est assez étonnant, tant tout est très maîtrisé vocalement sur l’ensemble de l’album.
Pour la seconde, Woodkid surprend plus au niveau de l’orchestration : un piano un poil désaccordé, un synthétiseur(?) qui ajoute une couche un peu dissonante par moments… Qui plus est, au niveau de l’enregistrement, il y a plein de petites impuretés sonores, comme si on écoutait le morceau sous format vinyl : très très surprenant encore une fois quand on compare avec la finesse de la production des autres chansons.
2 morceaux atypiques, donc, qui amènent un peu d’émotion et d’humanité dans cet univers très parfait du Golden Age. En bonus, on vous propose de réécouter Brooklyn, qui ne figure donc pas sur l’album mais bien sur son premier EP :